Précédent : 3) Les Brigades du Tigre, saison 3
Saison 4, épisode 1 : Le Village maudit
En 1898, Pierre et Marie Curie découvrent le radium, ouvrant ainsi l’ère de l’atome. En 1913, dans les campagnes, on croit encore aux sorciers et au diable. Dans un village isolé, les bêtes meurent mystérieusement. Les villageois veulent brûler Maudru, un malheureux qui habite la montagne, qu’ils prennent pour un sorcier. L’instituteur, Thévenin, et le curé essaye de le sauver. C’est l’explosion des anciennes carrières qui permet à l’instituteur de le libérer et de le faire fuir. L’évêque fait appel à Faivre qui envoie Terrasson au village. Celui-ci, en arrivant, croise des habitants qui fuient. Il rencontre Mme de Castro, la châtelaine, à qui il se présente comme étant un journaliste et dit vouloir rester quelques jours au village. Elle le conduit chez Mme Thévenin, la femme de l’instituteur, dont le mari a disparu depuis une semaine. Les plantes meurent aussi. Tous les matins, les cloches de l’église sonnent mystérieusement. Mme Thévenin découvre que sa maison a été visitée durant la nuit. Terrasson constate qu’un numéro de la Revue mensuelle de géographie manque. Il piège l’église avec un appareil photo. À la ville, il commande un exemplaire du numéro disparu de la revue. La photo montre les pieds du « fantôme » qui n’a pas de lacets. De retour au village, Terrasson apprend qu’on a retrouvé l’instituteur mort. Il remarque que Maudru n’a pas de lacets à ses chaussures. Terrasson fait appel aux Brigades. Valentin et Pujol arrivent alors que Terrasson a, lui aussi, disparu…
Unic de Mme de Castro – qui brûle… avec une roue “moderne”…
- Et avec : Claude Desailly : Maudrus, Michel de Ré : M. de Castro, André Thorent : l’évêque
Saison 4, épisode 2 : Les Demoiselles du Vésinet
En 1913, au bord de l’eau, Madame Demellier, recherche son mari qui a disparu. Elle demande à deux vieilles femmes en bateau si elles l’ont vu. Elles lui répondent qu’elles n’ont rien vu. Lors de l’inauguration d’une stèle ornée d’un buste, le député disparaît. Les deux mêmes vieilles dames sont là. Les Brigades sont chargées de la recherche des deux hommes, tous les deux députés. Deux autres députés disparaissent en présence des deux mêmes vieilles femmes. Les députés sont de bords différents, ce qui exclut une vengeance politique. Madame Demellier, met Valentin sur la piste des deux veilles dames. Celles-ci viennent voir Faivre. Elles gardent les députés chez elle, avec l’aide de Schumacher, leur chauffeur. Elles les ont enlevés pour les garder jusqu’à ce que le Parlement vote une loi instituant le droit de vote des femmes. Leur maison a été minée par Schumacher. Les deux dames y reviennent avec Valentin. Les souris mises à part, rien ne fait peur aux deux vieilles dames, qui restent inflexibles dans leur demande. La maison est une véritable forteresse…
Panhard & Levassor – Renault 1907 des vieilles demoiselles
Renault 6/8 CV 1908 ambulance – Peugeot 173S 1923
- Et avec : Madeleine Barbulée : Gertrude Petitpont, Bernard Lavalette : le ministre de l’intérieur, Fred Personne : Schumacher
Saison 4, épisode 3 : Bandes et Contrebandes
En 1912, Louis Thellier, un des derniers grands anarchistes, s’évade de prison. Clara, sa femme, le rejoint dans sa cachette, avec l’aide d’un ami, Julien. Elle le laisse seul pour aller chercher de quoi manger. Son départ est observé par un homme qui se cache. À son retour, Louis a disparu. Son corps est retrouvé dans les restes d’un attentat contre le juge qui l’avait condamné. Valentin interroge Clara, qui nie l’avoir revu. Il trouve étrange les circonstances de la mort de l’anarchiste qui était opposé à l’utilisation des bombes. Le médecin légiste a découvert deux balles dans le corps de Thellier. Un caïd est tué par l’homme qui surveillait Clara. Il tue aussi un affairiste qui vient de bénéficier d’un non-lieu. Les balles qui ont tué les trois hommes sortent de la même arme. Clara Thellier va voir Julien, qui lui a parlé des doutes des milieux anarchistes qui pensent qu’il existe une organisation responsable des trois morts. Elle veut mettre fin à leur agissement. Valentin la met sous surveillance. Elle se rend à la Fondation Hœffler, un bureau de bienfaisance. Elle se présente sous le nom d’Adèle Laffont, une bachelière. Elle réussit à travailler directement avec Hœffler. C’est un Alsacien champion de la rigueur morale qui est membre du « Comité », les responsables des morts. Clara espionne une des réunions de celui-ci, chez Hœffler, mais elle est reconnue. Le Comité juge Hœffler et fait enlever Clara sans que Pujol et Terrasson n'y comprennent rien…
Renault des Brigades – une voiture qui passe
voiture de Hoeffler – De Dion-Bouton 10 HP des tueurs
Saison 4, épisode 4 : Cordialement vôtre
En 1909, dans la perspective d’une guerre prochaine, Français et Britanniques ont décidé de construire ensemble un submersible plus efficace que ceux du Kaiser. Un ingénieur de l’Amirauté, William Husby, rejoint chez lui, en France, le chercheur Maxime Laubeuf, créateur du premier submersible moderne, le Narval. Alors que les deux savants discutent des qualités du sous-marin français, la secrétaire de Husby, Dorothy, est agressée. Une lettre menaçante, trouvée près d’elle, intime l’ordre à Husby de cesser toute collaboration avec les Français. L’ambassadeur britannique fait appel à Faivre pour protéger Husby. Deux hommes, dont le chef, Schultz, à l’accent allemand, surveille déjà la maison de Laubeuf, quand Valentin arrive. Dorothy signale qu’elle a remarqué deux hommes qui tournent autour de la propriété. Les hommes de la Brigade se concentrent dès lors sur Schultz et son ami. Après un rapide contact avec Schultz, Valentin et Pujol, de retour chez Laubeuf, découvre que Husby a été enlevé. Un officier allemand vient avertir celui-ci qu’il est chargé de le conduire en Allemagne pour empêcher une collaboration étroite entre la France et le Royaume-Uni. Valentin arrête Schultz et son ami pour découvrir qu’il s’agit en fait de deux détectives privés chargés par l’Amirauté de la protection de Husby. Schultz a cependant vu plusieurs fois Dorothy avec un homme auquel elle a remis deux grosses enveloppes en cachette. Alors que la secrétaire va partir, Valentin lui annonce qu’un des hommes qu’elle a vu rôder près de la maison est prêt à trahir ses complices. Le soir même Schultz est enlevé, ce qui confirme que miss Dorothy est dans le coup…
les voitures des Brigades – les Renault des Brigades
Peugeot 173S de 1923 des Brigades – Panhard & Levassor
- Et avec : Michel Muller : Schutz, André Falcon : Maxime Lauboeuf
Saison 4, épisode 5 : Les Enfants de la Joconde
En 1913, devant la Brigade mobile, un homme meurt écrasé par un automobiliste qui n’a rien fait pour l’éviter. Le mort venait justement voir Valentin. Il est finalement identifié. C’est André Ferras qui vivait à Évreux. Des « amis » du mort ont déjà récupéré toutes ses affaires dans son hôtel. La voiture, propriété de Lazare Tharamis, un gros marchand de tableaux, a été volée dans la nuit. Pujol, dans le magasin de Ferras, rencontre Arthur Ferras, le frère d’André. Celui-ci lui décrit son frère comme un voyou vivant avec une « fille », Viviane. Pujol parti, Ferras est félicité pour la qualité de sa prestation par un des membres de l’organisation. Pujol va voir Viviane, dont l’exagération de ses pleurs fait douter Pujol sur son témoignage. Aux Brigades, elle reconnaît d'ailleurs dans l’inconnu qu’on lui présente son « Dédé ». Il est clair qu’André Ferras n’est pas celui pour qui on veut le faire passer. L’affaire qui a conduit Ferras aux Brigades est importante. Pujol retourne à Évreux. Viviane a la visite du même membre de l’organisation qui était chez Ferras. Pujol arrive quand celui-ci sort de chez Viviane après l’avoir battue. Pujol conduit Viviane devant chez Ferras pour qu’elle lui dise si elle connaît Arthur Ferras. L’homme qui l’a battue arrive. Avec Ferras, il entre dans le magasin et en repartent vite. Pujol, toujours accompagné de Viviane, les suit. Il les voit s’introduire dans une chapelle et y prennent des photos. Dans la chapelle il récupère du matériel photographique, avant d'être interrompu par un prêtre. L'homme de l'organisation, revenu chercher ce qu'a trouvé Pujol, le menace. L'arrivée du prêtre permet à Pujol de partir sain et sauf. Dans la nuit, avec l'aide de Viviane qui, sous le prétexte d'une fête éloigne Ferras, Pujol s’introduit dans son magasin et y découvre qu’André Ferras est en fait un inventeur de génie, père d’un nouveau procédé de photographie couleurs permettant d’avoir des couleurs presque naturelles. Il échappe de justesse à l'homme de l'organisation. Blessé, il va chez Viviane, et lui fait envoyer les preuves qu'il a trouvées aux Brigades. Elle le livre à l'homme de l'organisation...
Renault des Brigades – Renault qui écrase Ferras
De Dion Bouton DE2 1912 de l’homme de l’organisation
- Et avec : Monique Tarbès : Viviane
Saison 4, épisode 6 : L'Ange blanc
En 1908, le Tour de France en est à sa 6ème édition. Le règlement est très strict, les coureurs doivent réparer eux-mêmes crevaisons et autres incidents techniques. L’épreuve déclenche l’enthousiasme de nombreuses personnes, mais a aussi des adversaires acharnés, qui vont jusqu'à jeter des clous sur les routes. Un coureur est découvert mort, sur le côté de la route, par un autre coureur. Arrive justement Sabatier, un journaliste du Vélo, le journal qui organise la compétition. Sabatier envoie son chauffeur, Fulbert, chercher les gendarmes. Henri Chaumette, le directeur du Vélo, parle à sa femme, Suzanne, de la lettre signée l’Ange blanc, qu’il vient de recevoir. Son auteur, qui avait déjà envoyé des menaces l’année précédente, annonce qu’il a assassiné le coureur et que ce n’est qu’un début. Un deuxième coureur est retrouvé mort. La Brigade est chargée de l’enquête. L’étape suivante part, avec l’aide de Petit-Breton, un des coureurs, qui décide de partir, même s’il doit partir seul. Petit-Breton crève. Sabatier découvre son vélo. Le coureur échappe de justesse à l’Ange blanc. Il est sauvé par Valentin. Le soir Chaumette reçoit une lettre de l’Ange blanc qui lui annonce qu’il va le tuer dans la nuit. Malgré la protection de Valentin et de Sabatier, Chaumette est retrouvé, mort au matin, par sa femme…
Renault des Brigades – Peugeot 173S 1923 des Brigades
Renault 1907 du journal “le Vélo” – Panhard & Levassor de Chaumette
- Et avec : Nadine Alari : Suzanne Chaumette, Jess Hahn : Fulbert
A suivre : 5) Les Brigades du Tigre, saison 5
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire