Les musées des automates et modèles réduits, avec ses deux vastes salles d'expositions (sur plus de 1800m²), propose plus de 300 personnages en mouvement : automates anciens, contemporains, vitrines animées, scènes historiques,... qui enchanteront petits et grands.
Adresse : Musée des automates et des modèles réduits, 14 rue de la Désirée, La Ville-en-Bois, 17000 La Rochelle
Tarifs 2019 : 12 € pour les deux musées (3 à 17 ans : 8 €)
Horaire : Hors vacances scolaires : de 14h00 à 19h00, Vacances scolaires et ponts : de 10h00 à 12h30 et de 14h00 à 19h00, Juillet et aout : de 9h30 à 19h00.
Site web : http://www.museeslarochelle.com/
Le Musée des automates
Le Musée des Automates de La Rochelle, ouvert en 1984, est le premier musée du genre en France. Il présente des pièces prestigieuses réalisées par les plus grands maîtres en la matière. Les figurines anciennes proviennent de l’Europe entière et ont nécessité près de 30 années de recherches. Il a fallu fréquenter des salles des ventes, rendre visite à des antiquaires, se hisser dans les greniers de grands magasins à Paris, à Londres ou à Berlin pour constituer, pièce après pièce, cette vaste collection. Le Musée des Automates est composé d’automates anciens, de pièces contemporaines et de grandes scènes animées. Au cours de la visite, on passe par les différentes salles présentant : les automates anciens (avant 1900), les automates publicitaires (1920 à 1950), les reconstitutions historiques, et les vitrines animées de grands magasins.
Dans des décors et une mise en scène somptueuse, 300 automates sont mus par des mécanismes que l'on peut observer sur l'Arlequin écorché et que l’on peut déclencher soi-même. On peut admirer au passage Les Mains à mains, de Rouillet-Decamps (1900), l'un des automates les plus complexes du musée. Une bouche de métro donne accès à Montmartre où l'atmosphère de Paname est fidèlement reconstituée. On y admirera les nombreux automates publicitaires des boutiques, on flânera dans des rues pavées éclairées par des candélabres et on se laissera surprendre par le passage d'un métro aérien.
vitrine d’animaux en peluche animés
Dame Napoléon III (modèle unique créé pour le musée) – le marquis buveur (Décamps, vers 1930) – la pianiste
le café noir – le diabolo – la merveilleuse
la petite vache – le colleur d’affiches (Décamps, 1930)
l’arlequin écorché – le clown à l’échelle – le vermifuge (réclame de 1930 : l’enfant pleure quand il a mal au ventre, puis retrouve le sourire grâce au remède du vermifuge Lune)
le clown à l’échelle – la gouvernante (automate publicitaire de 1920) – les mains à mains (6 mouvements, Roullet-Décamps, 1900, l’un des automates les plus complexes du musée)
l’étrange concert (à défaut de public, le chef d’orchestre joue pour les oiseaux) – la belle au miroir
le magicien (qui vous révèle votre avenir pour 20 cts !) – les pastilles Valda (automate publicitaire représentant pour les vitrines des pharmacies le célèbre Docteur Valda, 1920) – le Noir de la Louisiane (Vichy-Triboulet, vers 1895)
le dresseur de souris (1935) – Vaucanson réalisant son célèbre canard (11 mouvements, Laurent Grenoble) – l’impératrice en tenue de cour
l’agent de ville (J.A.F., 1920) – le manège
l’acrobate au chapeau (1890) – la coquette devant son miroir (Lambert, 1905)
On entre ensuite dans Paris / Montmartre…
boucherie-charcuterie “A la Tête de Lard” – l’avaleur de saucisses (automate de réclame)
graineterie – A la Taille de Guêpe
Au si bémol approximatif – le peintre – le petit écolier (automate de réclame dénonçant les méfaits du tabac)
le grand hôtel du Sacré-Cœur et du Venezuela réunis – le sommelier
boulangerie-pâtisserie – le paradis
l’homme sandwich (Décamps, 1920) – le musicien des rues – l’élégant (automate de vitrine vantant les mérites d’une lotion capillaire, J.A.F., vers 1930)
le square Francis Poulbot – épicerie de la Place Blanche
le clown musicien – la publicité par la démonstration – le juge (vers 1930)
l’atelier de Mathieu (destiné à être présenté dans les boutiques des marchands de couleur, 1950) – les caves de Montmartre
On quitte Montmartre…
le sermon (vers 1920) – le pierrot à la collerette – le joueur de bonneteau (réalisé par Farkas spécialement pour le musée)
2 petits automates – le magasin d’ombrelles – le clown à la chaise (Vichy-Triboulet, 1910)
les deux dames et l’oiseau (costume réalisé par M. Laurent, début 20ème siècle) – l’atelier de couture
Arlequin au balcon – le pierrot à la scie musicale (Vichy-Triboulet, début 20ème siècle) – Bob et son cochon savant
le clown aux dés (début 20ème siècle) – Charlot au lampadaire (Décamps) – M. de Beaumarchais (7 mouvements, J.A.F., vers 1920)
Pierrot écrivain (réplique de 1950 du célèbre automate de Gustave Vichy) – l’homme au chapeau (J.A.F.) – le buffet magique ou l’enfant au pot de confiture (J.A.F., 1935)
cages à oiseaux – 2 petits automates – le clown et son petit singe
la chatte, la chouette et le coq – le malade imaginaire, automate Comédia del Arte, Madame de Sévigné
le joueur de cartes (1910) – le magicien
Pierrot et thé pour deux – le joueur de bonneteau, la joueuse d’épinette, le petit fumeur
l’acrobate – le piano qui joue tout seul et le portrait de Michel Gaillard, le créateur des musées des automates et des modèles réduits – l’automate écrivain
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