1) Automates Avenue :
Adresse : Automates Avenue - Boulevard de la Libération - 14700 Falaise
Site web : http://www.automates-avenue.fr/
Date d’ouverture : 1994
Horaires : janvier, février, mars, octobre, novembre : week-end, jours fériés et vacances scolaires : de 10h00 à 12h30 et de 13h30 à 18h00, avril, mai, juin, septembre, décembre : tous les jours de 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h00, juillet/août : tous les jours de 10h à 18h00, fermé de la 2è semaine de janvier à la 1ère semaine de février + 25/12 et 01/01.
Tarif 2014 : 7 € (5 € de 4 à 12 ans)
Automates Avenue offre aux passants un voyage dans le temps et dans l'espace pour rêver avec ces fabuleux acteurs de vitrine et revivre la féérie d'une autre époque. Dans les rues de Paris reconstituées, les 300 automates de la collection Roullet-Decamps présentés dans 11 vitrines retrouvent leurs gestes et mimiques d'autrefois, au cours d'une superbe mise en scène.
Ours Pastille : 1910 : le premier automate publicitaire qui vantait les mérites d’une pastille pour la gorge
atelier de mécanique – atelier d’habillage
La cité lacustre : Cette scène qui date de l’année 1933 est composée de 36 personnages dont 32 animés. Seuls les décors ont été recréés. Cette scène d'une exceptionnelle qualité a été rénovée par Mme Bellancourt, arrière petite-fille du fondateur de la maison Decamps.
Le Tour de France cycliste : Cette scène humoristique qui fut exposée aux Grands Magasins du Louvre à Noël 1936, est inspirée d'un fait divers. Les cyclistes du tour de France furent détournés sur un chemin de campagne. Un ivrogne avait déplacé le panneau d'indications routières. Les coureurs chutèrent alors au milieu du village aux prises avec des petits cochons.
Le Marathon de la danse : Cette scène qui fut réalisée aux Galeries Lafayette à Noël 1947, est un marathon de la danse enfiévré, tels qu'ils existaient dans l'immédiat après-guerre avec les orchestres américains. Composée de 19 personnages, la scène est le reflet de toute la fantaisie de Dubout, illustrateur de Pagnol et Fernandel.
La Naissance des Poupées : Cette scène qui fut exposée aux Galeries Lafayette en 1950, se présente comme une bande dessinée, une suite de petites scènes qui racontent la "naissance des poupées" dans les ateliers du père Noël. Eiffel mit de nombreuses annotations et suivit scrupuleusement la fabrication des automates.
La Sérénade de la Fée : Dans cette scène qui fut exposée aux Grands Magasins des Galeries Lafayette en 1955, se trouve toute la fantaisie de Peynet. Le prince amoureux joue la Sérénade à la Fée sur les ailes de l'oiseau, la marguerite se balance sur l'escargot, l'escargot promène son château sur le dos, la girafe des neiges croque un croissant de lune...
Le Carrosse : Le 2 juin 1953 a lieu le couronnement de la reine d'Angleterre. Peynet adapte à sa façon et dessine la scène du carrosse, aussi nommée le "Mariage de la Poupée". Elle fut exposée aux Galeries Lafayette en 1953
Aladdin – Rêve de Noël – le cirque
(Textes issus du site Web)
2) Le château de Guillaume le Conquérant :
Adresse : Château Guillaume-le-Conquérant - Place Guillaume le Conquérant - 14700 Falaise
Site web : http://www.chateau-guillaume-leconquerant.fr/
Horaires : tous les jours de 10h à 18h sans interruption. Derniers tickets vendus à 17h
Tarif 2015 : 8 € (6 € chômeurs et étudiants, 4€ de 6 à 16 ans)
L'ensemble médiéval des 12ème et 13ème siècles de Falaise, typique des donjons-palais anglo-normands, fut l'un des premiers châteaux de pierre de Normandie. Le château de Falaise était l'une des résidences principales des ducs de Normandie, redoutable place forte et symbole du pouvoir princier.
C'est dans l'enceinte du château que naquit en 1027 le bâtard Guillaume, duc de Normandie, puis roi d'Angleterre en 1066, fruit des amours du duc Robert et de la belle Arlette. C'est aussi dans ce château que le 8 juillet 1199 Jean sans Terre, roi d'Angleterre, duc d'Aquitaine et duc de Normandie, signa la charte créant la jurande de St-Émilion, accordant aux membres de ce groupement corporatif le droit d'administrer librement leur juridiction.
statue et buste de Guillaume Le Conquérant
Cet ensemble majeur de l'architecture médiévale propose une visite unique à l'aide de tablettes tactiles recréant une grande gamme d'intérieurs, des plus princiers aux plus domestiques, richement décorés ou sobrement militaires.
L'enceinte castrale : Espace d'un hectare environ, cantonné d'une quinzaine de tours, ce lieu autrefois grouillait de vie.
Le grand donjon : Cet ouvrage de plan rectangulaire du 12ème siècle surprend par ses vastes dimensions et apparaît encore redoutable avec ses hauts contreforts plats qui soulignent l'élévation des murailles. L'aula, grande salle de l'étage noble, est la pièce de réception. Sa restauration audacieuse a fait appel aux techniques les plus avancées : le plancher est fait de dalles carrées de plomb et de verre, tandis que la couverture est une toile de téflon tendue sur une armature d'acier. La chapelle St-Prix est l'ancien petit oratoire du seigneur.
Reconstitution virtuelle de l’aula
Le petit donjon : Cette construction équilibrée et lumineuse, voulue par Henri Ier Plantagenêt à la fin du 12ème siècle., répondait à une double nécessité : couvrir l'accès de la plate-forme rocheuse contre un assaillant éventuel et améliorer le confort personnel du duc-roi. On remarque les meurtrières aménagées en canonnières sous d'élégantes fenêtres.
Tour « Talbot » : Cette imposante tour cylindrique (35 mètres de hauteur et des murs de 4 mètres d'épaisseur) devrait son nom à John Talbot, gouverneur du château en 1449, qui l'a restaurée. Elle est reliée au petit donjon par une ouverture percée dans une fenêtre permettant d'accéder à la courtine. La plate-forme permet de découvrir un vaste panorama.
Un puits extraordinairement profond (65 m), creusé dans la muraille, alimente tous les étages.
Des reconstitutions réduites de machines de tirs et de drakkars sont représentées dans les salles du château :
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