La bastide de Domme et ses 1030 Dommois dominent la vallée de la Dordogne sur laquelle le panorama du belvédère de la Barre est splendide. Le Dommois Jean de Mallevile (1741-1824) qui y a son buste était l’un des rédacteurs du Code Civil.
La bastide, qui a été fondée en 1283 par Philippe le Hardi, n’est pas rectangulaire mais trapézoïdale. A partir de la porte del Bos, on peut suivre la promenade des remparts jusqu’à la porte de la Combe puis en remontant vers la ville où l’on remarque de belles maisons de pierre ocre et de tuiles brunes, on passe sous la porte des Tours, (fin XIIIème siècle) qui est la plus imposante et la mieux conservée de l’enceinte.
porte del Bos – porte de la Combe
porte de la Combe – porte des Tours
Sur la place de la Rode (où était infligé le supplice de la Roue), la maison du batteur de monnaie s’orne de belles ouvertures gothiques. La Grand Rue est bordée de magasins de spécialités périgourdines. Dans la rue des Consuls, l’hôtel de ville occupe une construction du XIIIème siècle, ancienne maison de justice du sénéchal. A l’angle de la rue Geoffroy-de-Vivans, une maison possède une belle fenêtre Renaissance.
Enfin place de la Halle, on peut voir une belle halle du XVIIème siècle et la maison des gouverneurs du XVIème siècle flanqué d’une tourelle et siège du syndicat d’initiative.
L'écrivain Eugène Le Roy a séjourné à Domme dans la rue portant son nom et son héros le plus connu "Jacquou le Croquant", paysan rebelle périgourdin a sa statue au restaurant du même nom.
Ici encore on a déjeuné régional pour 14,50 € ou 21 € avec une entrée de salade de gésiers, un enchaud à la périgordine (si, si c’était inscrit ainsi sur la carte !) et un délice au noix.
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